Si les pièces antiques sont chargées d’histoire, la puissance qu’elles dégagent n’est visible et inspirante que pour celui qui sait voir. Michel Parmigiani nous transmet ce que son père lui disait : « qui apprend à regarder, acquiert l’art », et a lui de rajouter : « l’art est omniprésent autour de nous, il est dans la nature, dans l’harmonie de ses proportions et dans l’attention portée à chaque détail. Un monde de merveilles se révèle à celui qui sait regarder. »
Dès lors, nous nous devons observer toutes les collections de Parmigiani Fleurier tout en gardant en tête cette citation pour nous guider. Chacune des cinq collections fait référence à la nature et vient retranscrire par ses créations ce monde de merveilles.
Si le dessin de la Toric fait référence à la structure d’une colonne dorique, elle est la guide idéale pour traverser les époques.
En effet, la prouesse technique réalisée dans la Toric Capitole Gold Brown est inspirée d’une montre du XIXe siècle signée Perrin Frères (photo), restaurée pour la fondation Édouard et Maurice Sandoz. En plus de la complication de l’affichage sectoriel et de la répétition minute, le cadran vient retranscrire le décor du Capitole et Rome avec son style hélicoïdal et géométrique. En une seule montre, l’antiquité et le savoir-faire du XIXe se retrouvent portés à travers le temps, pour arriver au XXIe siècle. À cet ensemble rustique qui fait face à une nature hostile, la maison a réussi à insuffler de la tendresse : sa rose emblématique. Sa délicatesse et ses courbes viennent adoucir l’inspiration sauvage de la montre.